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lundi 26 novembre 2012

Salon du roman historique de Levallois

A mon arrivée

L'ouverture des portes au public

Le rush

Le rush (bis)

Avec Eric Marchal (Influenza, Le soleil sous la soie) pour une très agréable rencontre

lundi 19 novembre 2012

Le Salon du Roman Historique de Levallois 2012

Le Salon du Roman Historique de Levallois 2012 - Vidéo Dailymotion


Après cet agréable week-end en Normandie (au salon du livre de Valognes), place à Levallois dimanche prochain 
(14 h-18h30).
Au plaisir de vous y retrouver. O Marchal 

 

vendredi 26 octobre 2012

Culture et Bibliothèque pour Tous

 
 Ce très gentil article rend compte de notre rencontre d'octobre.




"Jean-Jacques Rousseau à Bourges

2012 a été dans nos bibliothèques l’occasion de fêter le Tricentenaire de la naissance de Jean-Jacques Rousseau, un grand nombre de manifestations ont eu lieu, surtout dans les régions marquées par son passage .
S’il a séjourné à Chenonceau, rien n’indique évidemment, que Rousseau soit passé à Bourges !
Et pourtant nous avons saisi l’occasion de la publication du dernier ouvrage d’Olivier Marchal, professeur de Lettres à Bourges, auteur de deux romans historiques :
Rousseau, La Comédie des masques Ed Télémaque 2011 ( folio 2012)
Rousseau, Le Voile déchiré Ed Télémaque 2012
Occasion rêvée donc, pour solliciter Olivier Marchal et célébrer Rousseau, à Bourges, avec une animation et une vitrine qui rendaient un bel hommage au philosophe, à l’écrivain et surtout à l’homme .
En invitant nos lecteurs et un public plus large, à rencontrer Olivier Marchal le mercredi 10 octobre au Salon du Best Western Hôtel d’Angleterre , c’est effectivement le personnage de Rousseau, ses paradoxes, ses contradictions, avec la société du XVIIIè siècle, avec les autres philosophes, pour la plupart ses amis du début , et les difficultés du romancier aux prises avec la biographie, l'essai historique avec une époque en pleine effervescence, que nous voulions faire découvrir .
A l’aide d’un PowerPoint, support de reproductions de gravures, de portraits ou de textes , Olivier Marchal a pu justifier son choix de la fiction pour évoquer Rousseau . Fort nombreuses sont les biographies qui lui ont déjà été consacrées et qui n’élucident pas vraiment les zones d’ombre de sa vie .
La biographie nécessite des prises de positions de la part de l’auteur, des certitudes, ce qui n’est pas évident avec Rousseau, qui a préféré lui-même se peindre de profil dans Les Confessions . La fiction au contraire donne libre cours à l’interprétation, à la mise en scène des personnages : d’autant que le point de vue romanesque différent dans les deux romans, permet une confrontation originale .
De ce fait, l'animation était plutôt axée sur le parti pris romanesque qu'a choisi Olivier Marchal : montrer comment cette société avec ses codes, ses exigences, ses contraintes , ses aspirations à l'argent, au pouvoir... avait plombé tout idéal . De sorte que les philosophes, tout en essayant de défendre leurs idées dans les Salons, seuls lieux d'ailleurs où ils pouvaient librement s'exprimer, y perdaient leur indépendance, leur liberté, voire leur idéal . La plupart acceptant de se compromettre avec les gens en place dans ces Cercles où les rivalités, les comparaisons faisaient que tous s'épiaient, toujours sur le qui-vive, prêts à dénoncer l'hypocrisie, la trahison des uns et des autres , dans ces cénacles censément intellectuels, où triomphaient non pas la probité, l'intelligence, mais la jalousie et la tyrannie .
La fiction permet ainsi dans La Comédie des masques par un jeu de regards croisés prenant le lecteur à témoin, de montrer comment Rousseau d’abord convoité pour ses idées originales par « les Salonnières », va progressivement affronter ses amis dans les Cercles où les polémiques, les critiques viseront à le ridiculiser, voire à l’humilier, l’incitant à se retirer du monde, à quitter son habit de soie pour un vêtement de bure .
Avec Le Voile déchiré, Olivier Marchal introduit un personnage nouveau, un regard neuf et tel un enquêteur dans un thriller, Bernardin de Saint Pierre de retour des ïles, va chercher à comprendre les raisons de tant de violences qui opposent Rousseau à Diderot, d’Alembert, d’Holbach, Grimm, Voltaire …tous ceux qui furent pourtant naguère , comme lui, enthousiasmés par les idées nouvelles des Lumières .
Bernardin de Saint Pierre va entendre les arguments des uns et autres et revenir près de Rousseau auquel il reste fidèle, grâce à lui, le lecteur éprouve une telle empathie, sans doute à l’instar d’ Olivier Marchal, qu’il lui sera bien difficile de prendre parti .
Telle fut la gageure du romancier de ménager jusqu’à la fin un effet de suspense avec la complicité du lecteur .
Une cinquantaine de personnes a été fascinée par la passion qui anime Olivier Marchal depuis des années, par son travail de romancier, et a vivement manifesté son intérêt et son plaisir lors de la séance de dédicaces . Quant à Olivier Marchal, surpris par l’accueil aussi enthousiaste de l’assistance , c’est sur son blog qu ‘il a confirmé le succès de notre animation :


« Un grand merci à l'association Culture et Bibliothèques Pour Tous pour cet agréable après-midi » http://lacomediedesmasques.blogspot.fr/"


S.D.



mercredi 10 octobre 2012

lundi 16 juillet 2012

Critique du "Voile déchiré"

premiers retours de lecture. Celui-ci me semblait bien tourné et intéressant.

"Rousseau aurait eu 300 ans. Lui qui n'attendait plus aucune reconnaissance, aucune compréhension de la part de ses contemporains déclarait que ses écrits trouveraient leur place dans l'esprit "des temps à venir".
L'histoire lui aura peut être donné raison. Mais le voile posé sur son oeuvre est-il à présent entièrement levé?
Olivier Marchal , aux Editions Télémaque, continue, dans ce deuxième roman consacré à Rousseau, de s'interroger sur la personnalité de ce philosophe, écrivain, encyclopédiste, musicien du siècle des Lumières. Rousseau est un homme âgé, fatigué lorsqu'il rencontre le jeune Bernardin de Saint Pierre. Ces deux là vont "s'entreconnaître".
Le futur Louis XVI s'apprête à monter sur le trône, Paris parle fort, souvent mal.. Paris a mauvaise haleine en ces années 1770. le combat des idées a rendu L'âme sur l'autel du pouvoir, des richesses et des titres de gloire. Les fermiers généraux rejoignent le cercle des penseurs . L'idéal se poudre, se farde, et courtise Versailles. Rousseau les dénoncera. Tous, de Diderot à D'Alembert, de Voltaire à Grimm lui assèneront des coups de bâton.
Olivier Marchal déchire le voile. Il met en Lumière un peu plus l'esprit de ce siècle"

vendredi 1 juin 2012

4è de couverture

"Rousseau, le voile déchiré" (Tome 2) d'Olivier MARCHAL
En librairie le 7 juin 2012


"Français, on vous tient dans un délire qui ne cessera pas de mon vivant. Mais quand je n'y serai plus et que votre animosité, cessant d'être attisée, lai
ssera l'équité naturelle parler à vos coeurs, vous regarderez mieux, j'espère, à tous les faits, dits, écrits, qu'on m'attribue..."
Jean-Jacques ROUSSEAU
A tout Français aimant encore la justice et la vérité


Début des années 1770. 
Bernardin de Saint-Pierre rencontre un Rousseau vieillissant et rejeté par tous, Diderot, D'Alembert, Grimm, Mme d'Epinay...
Quelle est la raison de cette exclusion dont Rousseau est l'objet ? Est-ce bien un complot destiné à le discréditer ?
Bernardin cherche la vérité, il reçoit les confessions de Rousseau et de ses anciens amis afin de faire la lumière sur ce génial égoïste.

Riche de détails méconnus et remarquablement documenté, ce livre s'attache à répondre aux interrogations qui pèsent encore, plus de deux siècles après sa mort, sur le véritable caractère du philosophe le plus marquant des Lumières.

mercredi 16 mai 2012

Rousseau, le Voile Déchiré

Voilà, il fallait bien que cela arrive... Après tant d'années de vie commune, la sortie prochaine (en juin) du "Voile Déchiré" marquera la fin de mon aventure en compagnie de Rousseau. Bien sûr, dans les mois qui viennent, j'irai à la rencontre des lecteurs. J'aurai donc l'occasion d'échanger autour du roman et de cette passion qui me tient depuis près de vingt ans.
Mais au fond de moi, la séparation est déjà faite. Et depuis le début des manifestations liées au tricentenaire de sa naissance, le Genevois s'est peu à peu éloigné de moi pour retourner vers les autres, à Genève, à Montmorency, à Chambéry, dans tous ces lieux consacrés où on l'exhibe depuis quelques mois au grand public. 
Je pense très sincèrement que les lecteurs qui ont apprécié "la comédie des masques" prendront plaisir à découvrir "le voile déchiré". Quant aux nouveaux lecteurs, qu'ils se rassurent : si les deux romans sont complémentaires, ils ne peuvent en aucun cas être considérés comme des suites, mais plutôt comme une succession d'éclairages sur le philosophe genevois. Encore que... Davantage que le philosophe, c'est de l'homme dont je parle dans ces deux récits : de ses amitiés, des haines qu'il a endurées, des amours qu'il a connus... 
De cette petite histoire qui a donné naissance à la grande.
On me demande souvent quelle est la part de fiction dans ce que je raconte. Peu importe ! La fiction ne peut-elle pas dégager une vérité humaine ? Ne peut-elle s'emparer du mystère qui plane depuis plus de deux cents ans sur ce que certains ont appelé l'affaire infernale ?
Je sais bien qu'on me reprochera mon regard sur ces grandes figures de notre patrimoine. Sur Voltaire, sur Diderot, sur d'Alembert et les autres... D'ailleurs, après la sortie de la Comédie des Masques (qui vient de paraître chez Folio, voir ci contre), j'ai reçu bien des courriers de spécialistes qui prétendaient le tout, et aussitôt son contraire... Ce sera encore le cas dans les mois qui viennent, parions-le.
Cela n'a guère d'importance. Ce qui compte le plus, ce sont ces réactions de lecteurs, souvent trompés par leurs souvenirs scolaires, et qui sont surpris de découvrir ce destin tellement romanesque...
A bientôt, je l'espère, pour partager vos premières impressions.
OM

samedi 12 mai 2012

Lancement de "Rousseau, le voile déchiré" à Chenonceau

Avec Nathalie Iris (télématin) et Stéphane Watelet (directeur Ed Télémaque)

En bonne compagnie...

La presse face à l'expo "Rousseau heureux à Chenonceau"

instruments de physique exposés
Une journée ensoleillée, des journalistes venus en nombre, une expo "Rousseau heureux à Chenonceau" commentée par M. Vasseur (quel bonheur !!!), un accueil très chaleureux de Mme Menier, propriétaire et conservatrice du château. Sans compter la présence de M. Babelon, membre de l'Institut de France et conservateur de l'abbaye de Chaalis...
Pouvait-on imaginer mieux pour le lancement du 2nd tome ?

vendredi 27 avril 2012

Confusion des genres... (3)

La citation qui suit est de Gide, me semble-t-il : "Il y a le roman et il y a l'histoire. D'avisés critiques ont considéré le roman comme de l'histoire qui aurait pu être, l'histoire comme un roman qui avait eu lieu."
Comme je le laisse entendre dans les deux articles précédents, ma quête de l'homme Rousseau m'a conduit dans une impasse. Trop de questions demeurent, sur lui, sur sa vie intérieure, sur ce qu'il fut vraiment, et ces questions demeureront sans réponse. Le philosophe est connu, me rétorquerez-vous, et peu nous importe l'homme !
Peut-être... Mais cette réponse ne me satisfera jamais... Si Rousseau s'est composé un personnage, s'il s'y est tenu jusqu'à se condamner à l'opprobre, alors je lirai ses oeuvres autobiographiques comme une tentative de convaincre le public de son authenticité. Dans le cas contraire, ces mêmes oeuvres auront pour finalité de le montrer sous son vrai jour, à l'opposé de l'image que le public avait de lui.

Difficile de comprendre l'oeuvre autobiographique si on ne connaît pas l'homme.
Plus difficile encore de prétendre raconter sa vie si on ne perçoit que les agissements de l'homme sur la scène, et jamais dans les coulisses.
Cette incertitude condamne d'emblée toute prétention biographique. Face à ces zones d'ombre, comment oserais-je imposer tel regard plutôt qu'un autre ? Et quel éclairage suivrais-je donc ? Celui de Grimm, de Diderot, et de tous les ennemis du Genevois ? Celui de Rousseau, au contraire, malgré tous ces indices qui ne concordent pas ?

Reste la fiction, ce que Gide nomme "l'histoire qui aurait pu être". Autant "la Comédie des Masques" que "le Voile déchiré" (sortie en juin 2012) posent un regard sur un possible Rousseau, et la part d'invention des deux récits envisage ce qu'aurait pu être l'homme.
Ni biographie, ni biographie romancée, ni roman biographique donc... Car n'oublions jamais que le romancier est un menteur, et qu'il ne doit jamais cacher au lecteur qu'il ment. Même si les plus avisés des lecteurs savent que certains mensonges peuvent rendre compte de la réalité.

jeudi 26 avril 2012

Confusion des genres... (2)

Raymond Trousson
Plus loin, dans cette même biographie, Trousson se montre tout aussi affirmatif au moment d'aborder l'illumination de Vincennes : "Son oeil accroche la question mise au concours de l'Académie de Dijon pour l'année 1750 : Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les moeurs. La foudre le cloue sur place... A l'instant de cette lecture, il voit un autre univers, il devient un autre homme..." Ce récit, c'est très exactement celui que fait Rousseau dans les Confessions ou dans les Lettres à Malesherbes
Et Trousson y prête foi sans la moindre retenue. 
En bon connaisseur de Rousseau, il n'ignore évidemment pas les propos de Diderot sur le sujet : "Le parti que vous prendrez, c'est celui que personne ne prendra", aurait-il conseillé à Rousseau ce jour-là. La suite, on la connaît : Rousseau remporte le prix, et bientôt il acquiert cette célébrité à laquelle il aspire depuis tant d'années.
Que faut-il retenir de cet épisode ?
Deux hypothèses, tout aussi plausibles l'une que l'autre.
Soit cette "illumination" a eu lieu, et toute la pensée de Rousseau s'est effectivement révélée à lui en ce jour d'octobre 49.
Soit Rousseau a menti, et son parti-pris contre les sciences et les arts n'était qu'une posture de sophiste.
L'enjeu  est de taille, puisque de la réponse à ces questions dépend notre regard sur toute l'oeuvre autobiographique du Genevois.
Pourtant, Trousson ne s'embarrasse guère de ces questionnements : "Quant à la phrase sur laquelle on a tant épilogué - vous prendrez le parti que personne ne prendra -, de toute évidence ce n'est pas un conseil, c'est une affirmation : Diderot savait par coeur son Jean-Jacques et pas un instant il ne l'a cru capable de choisir le pont aux ânes."
Ite missa est ! On ignore quelle est cette évidence à laquelle se rend Trousson (je l'ai pourtant longuement cherchée), mais elle doit être suffisamment aveuglante pour qu'il l'expédie en quelques lignes ! Et une fois encore, situé à la croisée des chemins, il emprunte l'un d'eux sans aucune hésitation.  
Rousseau serait donc né sur le chemin de Vincennes, c'est une vérité révélée, puisque cette version est attestée par les Confessions, puis par Trousson. Et les autres témoignages, ceux de Marmontel, de Grimm, de Diderot, qui ont pourtant fréquenté Rousseau, ces témoignages ne sauraient être pris en compte !
( à suivre)

mercredi 25 avril 2012

Confusion des genres...

Depuis la sortie de "la Comédie des Masques" en janvier 2011, bon nombre de lecteurs m'ont demandé pourquoi je n'écrirais pas un essai sur Rousseau. Tout d'abord surpris de cette proposition, je l'ai été encore davantage par les termes de "biographie", voire de "biographie romancée" accolés dans la presse à mon roman.
Lors de rencontres, il m'est même arrivé de ressentir de la gêne chez certains interlocuteurs.
Comme si l'idée de consacrer un roman à Rousseau leur paraissait incongrue...
Comme si ce sujet éminemment sérieux, et prisé par les universitaires, ne pouvait être traité par le biais d'une fiction.

On sait, depuis le XVIIè siècle, que le roman est considéré comme un genre "bas". A l'époque des Lumières, on raillait d'ailleurs les femmes qui prétendaient faire preuve de "bel esprit" (songeons à mme du Châtelet, à mme du Boccage), mais on admettait qu'elles s'illustrent dans le genre romanesque, c'est à dire dans des sujets futiles.
Concernant Rousseau, une figure tutélaire (s'il en est !) de notre histoire littéraire, la logique aurait voulu que je fasse preuve du sérieux requis, et que je lui consacre un énième ouvrage de réflexion.
Après Starobinski, Lejeune, Eigeldinger, Trousson et tant d'autres, j'aurais à mon tour assené mes certitudes sur l'homme Rousseau ?

Alors que, de certitude, je n'en ai aucune... ?
Oh si, une seule. 
Que ceux qui prétendent détenir la vérité se trompent, même quand ils sont de bonne foi.
Hormis Starobinski (dans certains passages très nuancés de "la transparence et l'obstacle"), tous les biographes semblent tellement sûrs de leur fait !
Et ce, même quand ils se contredisent...
Prenons un premier exemple : celui des 5 enfants de Rousseau, tel que le relate Trousson dans son "Jean-Jacques Rousseau" (Ed. Tallandier). Nombreux furent ceux, dès le XVIIIè, qui s'interrogèrent sur l'existence de ces enfants. D'autres, comme F Mac Donald, allèrent jusqu'à fouiller les registres des Enfants-Trouvés (en vain...) pour vérifier la réalité de leur abandon.
"Qu'on lui laisse ces enfants ; ils étaient bien à lui" tranche Trousson, après avoir balayé toutes ces questions d'un revers de la main.
Alors que je m'arrête à la croisée de ces deux chemins, lui emprunte avec assurance l'un d'eux en prétendant que l'autre mène à une impasse. Avançons, il n'y a rien à voir ! Et ne nous occupons pas de ces ragots, même quand ils émanent de G Sand, qui les tenait de la bouche de Louise Dupin. Ne nous occupons pas plus de Thérèse, la compagne de Jean-Jacques, dont l'histoire intime reste encore à écrire. Faisons donc comme si la petite histoire n'était pas au coeur de la grande histoire, donc de la naissance du personnage Rousseau.
(à suivre)

vendredi 25 novembre 2011

Tome 2

"Le voile déchiré"... Pourquoi pas ? Ce titre évoque un célèbre épisode biblique. Et il reprend l'idée de dissimulation de "la comédie des masques". Allez, continuons à creuser...