Dans cette nouvelle intervention consacrée à l'attentat de Damiens, Marion Sigaut fait amende honorable : en 2014, elle avait suivi une "fausse piste".
(voir ici ce qu'on en disait à l'époque)
Reste désormais à corriger le portrait du régicide, sur lequel tous les témoignages concordent, autant celui de ses proches que ceux de ses anciens maîtres : un garçon dépressif, agressif, aux tendances suicidaires...
Vous êtes devenu bien charitable avec cette falsificatrice !
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